En dépit de son importance et de sa portée capitale, le congrès de la Soummam scinde le mouvement révolutionnaire en deux groupes : antagoniste et protagoniste.
Le livre de Maurice Rajsfus sur la répression du 14 juillet 1953 à Paris, publié une première fois chez Agnès Viénot Editions (Paris 2003) vient de bénéficier d’une nouvelle édition, à l’occasion d’une publication en France de l’œuvre complète du militant des droits de l’homme.
Organisé par Abane Ramdane et Larbi Benmehidi, le congrès de la Soummam déterminant pour une révolution et une lutte sans merci contre l’envahisseur avait pour but très précis, l’adoption d’une charte structurant l’ossature du mouvement de l’insurrection contre l’impérialisme, diviser l’Algérie en wilayas et zones, et doter l’organisation, en structures militaires et administratives.
En 2003 furent organisées, à Neuves-Maisons où elle est enterrée, des cérémonies de recueillement à la mémoire d'Emilie Busquant, la compagne de Messali Hadj.
OUM EL BOUAGHI - La demeure qui a vu naître le martyr Larbi Ben M’hidi, au douar Kouahi, non loin d’Ain M’lila (Oum El Bouaghi) sera transformée en annexe du musée du Moudjahid, a annoncé, jeudi, le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni.
Observons cette image, c'est la place des Martyrs à Alger, il y a de cela 180 ans. La place est bien dégagée après la démolition de la mosquée Assayyida vers la fin des années 1830, ainsi que Houmat Assiyyaghine (joailliers), Arrssayciyya (الرصايصية), Al-Kissariyya (القيسارية), Djamaa Sidi Abderrahmane, et Houmat Al-Qahwa lakbira (حوْمة القهوة الكبيرة), et tant d'autres quartiers et souks et swiqa (السويقة)....
En dépit de son importance et de sa portée capitale, le congrès de la Soummam scinde le mouvement révolutionnaire en deux groupes : antagoniste et protagoniste.
Le 8 mai 1945, alors que la France fête sa victoire sur l’Allemagne hitlérienne, des massacres de civils débutent à Sétif, Guelma et Kherrata dans le Nord-Est de l’Algérie, alors sous domination française, après qu’un jeune scout musulman ait été tué pour avoir brandi un drapeau algérien. Ils se poursuivront jusqu’en juin 1945, entraînant la mort de dizaines de milliers d’Algériens.
La première exécution en Algérie d’un condamné à mort par la guillotine date du 16 février 1843. Auparavant, c’était à l’aide du « yatagan », sabre à lame recourbée que les condamnés à mort étaient décapités.
Dans une dernière livraison datée du vendredi 12 novembre, le quotidien du soir Ennahar, publié en langue nationale à Constantlne, défraie la chronique par un long commentaire sur les raisons qui auraient précipité l'assassinat de Kasdi Merbah, ex-Premier ministre et président du MAJD.
Le lundi 22 novembre 1999, à 10h 45 fut lâchement assassiné Abdelkader Hachani dans un cabinet dentaire, par un individu armé d’un silencieux. Deux balles dans la tête et une autre dans le thorax ôteront la vie à cet homme politique. Un véritable travail de professionnel.
A l’initiative de la fédération du Front des Forces Socialistes de Tizi Ouzou, un vibrant hommage a été rendu aujourd’hui à M’barek Mahiou, ancien Secrétaire Général par intérim du FFS, assassiné avec son neveu, Farid Mahiou à Kouba (Alger), le 04 Novembre 1995 en plein campagne des élections présidentielle.